La situation des ouvriers (des femmes pour la plupart), a été examinée, mardi matin, lors d’une séance de travail, présidée par le gouverneur de la région.
Les ouvriers exigent la désignation d’un nouvel investisseur, sachant que le propriétaire initial (un français) compte céder son entreprise.
Ils ont assuré la protection de l’usine depuis sa fermeture dans le but de sauvegarder leur source de revenu.