L’identification approfondie des activités vertes et l’employabilité dans cette économie ainsi que les projets verts sont parmi les thèmes principaux de cette conférence.
Il a fait remarquer que de nombreux pays développés considèrent l’économie verte comme un élément essentiel à la création d’emplois, ajoutant que celle-ci soutient le développement et réduit notamment le taux de pauvreté et le danger de la pollution.
Les mécanismes de production et de consommation actuels ont contribué, a-t-il relevé, à la destruction des ressources naturelles, tel que l’eau et à la hausse des prix des denrées alimentaires et des énergies, augmentant ainsi le taux de chômage, la pauvreté et les disparités sociales.
Il ajouté que la Tunisie s’oriente, actuellement, vers le renforcement d’un système basé sur l’économie verte en vue de réduire le chômage des diplômés du supérieur dans les régions et zones intérieures du pays.
Parmi les sujets traités, lors de cette conférence, figurent le cadre législatif et institutionnel régissant la stratégie nationale de l’emploi dans l’économie verte et les moyens à même d’aider les diplômés du supérieur à créer leurs projets liés à l’économie verte.
Les participants ont souligné la nécessité d’approfondir l’identification des activités vertes et des opportunités d’emploi à court et moyen termes.
Ils ont affirmé l’importance de faire participer toutes les composantes de la société civile, du secteur privé et des institutions de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique à la mise en place d’une structure d’étude, de suivi et d’évaluation lors du lancement de projets verts, tout en liant l’employabilité de l’économie verte à la formation.