Dans le cadre des mesures d’austérité, le gouvernement italien ne va pas renouveller certaines aides à la presse, l’agence de presse américaine AP licencie 90 journalistes, les diplômés de l’Ipsi en Tunisie en chômage prolongés… 4000 emplois sont menacés.
«Une centaine de titres, des quotidiens mais aussi des hebdomadaires et des mensuels, sont à risque», a estimé Renzo Santelli, porte-parole de la »Federazione nazionale della Stampa italiana (FNSI) ».
«Nous demandons à ce que les engagements pris précédemment soient respectés», a exigé Renzo Santelli. «Pour 2012 les journaux ont déjà obtenu des crédits parce qu’ils pensaient disposer de ces financements publics comme garantie auprès des banques», a-t-il expliqué.
Faut-il trouver une solution et mettre au point un système qui mette fin à tous les financements fictifs pour éviter le risque de clientélisme ou de politique, c’est-à-dire basés artificiellement sur le tirage et non les ventes réelles, mais aussi dans ce cas parait-il que le problème persiste au niveau de la presse électronique qui n’a pas de tirage à prouvé.
Enfin, peut être la libération du domaine soit dans le fait d’abandonné le principe des subventions publiques, soit l’achat de journaux en papier ou l’inscription et l’abonnement des des magazines numériques, au profit d’une «taxe sur la publicité ». il est «impensable d’éliminer totalement les subventions qui garantissent une information pluraliste et la coexistence de courants culturels et politiques vitaux pour le pays.