La Tunisie est devenue membre de la Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD), annonce, mardi, le site de la banque.
La Tunisie et la Jordanie, devenue elle aussi membre de cette institution européenne, rejoignent lEgypte et le Maroc en tant que membres actionnaires et pays bénéficiaires de son accompagnement dans la mise en place de leurs programmes de réforme économique et politique.
Les quatre pays sont la cible d’un soutien au titre du Partenariat de Deauville qui a été lancé sous la présidence française du G-8 en mai 2011 à répondre aux changements historiques en cours dans les régions du Moyen–Orient et Afrique du Nord.
Selon le site, la BERD prévoit de créer, en 2012, un fonds spécial devant lui permettre de démarrer ses investissements dans ces quatre pays.
La Tunisie avait déposé, en juin 2011, une demande officielle afin de devenir à la fois membre actionnaire et pays bénéficiaire de lappui financier de la BERD.
Cette demande est intervenue après lapprobation par les actionnaires de la BERD du principe dun élargissement de son champ dintervention à lAfrique du Nord et au Moyen-Orient (MENA), et ce lors de la tenue de sa dernière assemblée annuelle, à Astana (Kazakhstan), en mai 2011.
La BERD a la capacité d’investir, dans le moyen terme, jusqu’à 2,5 milliards par année dans la région Méditerranée orientale et méridionale. Toute décision prise par les actionnaires pour commencer à pleine échelle des investissements prendra en compte les réformes politiques et économiques entreprises dans les pays concernés.
Créée en 1991 pour accompagner les pays de lEurope centrale et de lEst ainsi que ceux de lAsie centrale dans leurs processus de transition, tout en mettant laccent sur la promotion du secteur privé, la BERD envisage de mettre son expérience au profit des pays de la région MENA.
La Tunisie et la Jordanie, devenue elle aussi membre de cette institution européenne, rejoignent lEgypte et le Maroc en tant que membres actionnaires et pays bénéficiaires de son accompagnement dans la mise en place de leurs programmes de réforme économique et politique.
Les quatre pays sont la cible d’un soutien au titre du Partenariat de Deauville qui a été lancé sous la présidence française du G-8 en mai 2011 à répondre aux changements historiques en cours dans les régions du Moyen–Orient et Afrique du Nord.
Selon le site, la BERD prévoit de créer, en 2012, un fonds spécial devant lui permettre de démarrer ses investissements dans ces quatre pays.
La Tunisie avait déposé, en juin 2011, une demande officielle afin de devenir à la fois membre actionnaire et pays bénéficiaire de lappui financier de la BERD.
Cette demande est intervenue après lapprobation par les actionnaires de la BERD du principe dun élargissement de son champ dintervention à lAfrique du Nord et au Moyen-Orient (MENA), et ce lors de la tenue de sa dernière assemblée annuelle, à Astana (Kazakhstan), en mai 2011.
La BERD a la capacité d’investir, dans le moyen terme, jusqu’à 2,5 milliards par année dans la région Méditerranée orientale et méridionale. Toute décision prise par les actionnaires pour commencer à pleine échelle des investissements prendra en compte les réformes politiques et économiques entreprises dans les pays concernés.
Créée en 1991 pour accompagner les pays de lEurope centrale et de lEst ainsi que ceux de lAsie centrale dans leurs processus de transition, tout en mettant laccent sur la promotion du secteur privé, la BERD envisage de mettre son expérience au profit des pays de la région MENA.